Translation for "ils ont tranché" to spanish
Translation examples
Vous, les nations, vous avez tranché contre moi.
Ustedes, las naciones, decidieron contra mí.
La cause idiote pour laquelle vous vous êtes engagé – à savoir la propriété de cet Habitat – ne vous concerne pas. C’est à la loi de trancher et à elle seule.
En realidad, la idiotez por la que ustedes decidieron quejarse, la titularidad de un hábitat, no tiene nada que ver con usted. Es un asunto legal, una cuestión de propiedad.
Il réussit pourtant à mettre la main sur un paquet de pain complet en tranches, et après qu’il en eut jeté les quatre premières (couvertes de moisissures duveteuses et bleuâtres), ils s’attablèrent devant un repas de toasts à la confiture de fraises.
Sin embargo, consiguió encontrar un paquete de pan integral en rebanadas y, una vez que desechó las cuatro primeras (que estaban cubiertas de moho azulado), decidieron tomar tostadas con mermelada de fresa.
Born déclara que Margot et lui étaient sur le point de partir quand ils m’avaient aperçu, planté seul dans mon coin, et m’avaient trouvé l’air si malheureux qu’ils avaient décidé de venir me remonter le moral – juste pour s’assurer que je ne me tranche pas la gorge avant la fin de la soirée.
Born dijo que Margot y él estaban a punto de marcharse, pero entonces me vieron solo en el rincón, y como tenía aquel aire tan desdichado, decidieron acercarse para animarme un poco: sólo para asegurarse de que no me rebanaría el cuello antes de que acabara la noche.
Ils avaient commencé par tirer, mais beaucoup d’entre eux avaient de vieux fusils qu’ils étaient obligés de recharger à chaque coup et plutôt que de perdre du temps, ils se mirent à poignarder les soldats ennemis, à leur trancher la gorge, les étranglant avec leurs mains nues, leur arrachant les yeux en appuyant leurs deux pouces dans les orbites de leurs victimes, leur tranchant les oreilles, leur labourant les entrailles, les piétinant et les jetant sanglants dans le fleuve.
pero, como la mayoría de los fusiles eran antiguos y no eran de repetición, cada vez debían cargarlos nuevamente, de forma que, para no perder tiempo, se decidieron por los métodos de lucha más primitivos y sólo atacaron al arma blanca para exterminar; a los japoneses. Incluso llegaron a estrangularlos con sus propias manos y a sacarles los ojos hundiéndoles los pulgares en las cuencas. Les arrancaron las orejas, los pisotearon sobre el vientre los mataban a palos y luego echaban sus cuerpos al río.
On décida donc de creuser une longue tranchée où tous tiendraient, ce n’était pas la première fois et ce ne sera pas la dernière, les corps descendront dans la terre vêtus comme ils sont, on donna aussi une pelle à Jésus et celui-ci travailla vaillamment à côté des hommes adultes, le destin, qui en toute chose est le plus sage, voulut même que son père fût enseveli dans le terrain par lui creusé, la prophétie s’accomplissant ainsi, Le fils de l’homme enterrera l’homme mais lui-même demeurera sans sépulture.
Decidieron pues excavar una fosa amplia donde cupiesen todos, no fue ésta la primera vez ni será la última en que los cuerpos bajarán a la tierra vestidos como se encuentran, a Jesús le dieron también un azadón y trabajó valientemente al lado de los adultos, hasta quiso el destino, que en todo es más sabio, que en el terreno por él cavado fuese sepultado su padre, cumpliéndose así la profecía, El hijo del hombre enterrará al hombre, pero él mismo quedará insepulto.
Anzola continuait par ailleurs de s’entretenir avec des témoins qui le renvoyaient à d’autres témoins ; il prenait toujours leurs déclarations brouillonnes qu’il tentait de rendre plus intelligibles, discutait avec des gens dont il ignorait la fiabilité, qui disaient avoir vu tel ou tel ennemi du général Uribe dans telle ou telle circonstance embarrassante et, pendant tout ce temps, il pensait à Bengoechea, s’informait sur lui, plaignait ses parents, qui regrettaient sans doute de s’être un jour établis à Paris, se demandait où pouvait vivre la famille du jeune homme restée à Bogotá et s’affligeait de son sort. La fois où il parla avec deux nonnes qui lui jurèrent avoir vu Galarza et Carvajal surveiller la maison du général Uribe, postés en bas du noviciat, quelques jours avant le crime (elles lui apportèrent une preuve supplémentaire que le meurtre n’avait pas été décidé la veille), Anzola apprit également que Bengoechea avait opté pour la nationalité colombienne : à vingt et un ans, obligé de choisir entre ses deux patries, il avait tranché pour celle de ses parents et de sa langue maternelle.
Anzola seguía hablando con testigos que lo remitían a otros testigos, seguía recibiendo declaraciones confusas que trataba de aclarar, seguía entrevistándose con gente de reputaciones ignotas que le decía haber visto a tal o cual enemigo del general Uribe en tal o cual circunstancia comprometedora, y mientras tanto pensaba en Bengoechea, leía sobre Bengoechea, se compadecía de los padres de Bengoechea que estarían lamentando quizás el momento en que decidieron quedarse en París, y luego se preguntaba dónde viviría en Bogotá el resto de la familia de Bengoechea y se compadecía también de ellos. Por los días en que habló con dos monjas, que le juraron haber visto a Galarza y a Carvajal oteando la casa del general Uribe desde los bajos del Noviciado en los días anteriores al crimen (y le dieron una prueba más, por lo tanto, de que el crimen no había sido improvisado la víspera), Anzola se enteró de que para Bengoechea la nacionalidad colombiana había sido una decisión: a los veintiún años, obligado a escoger entre sus dos patrias, había escogido la de sus padres, la de su lengua materna.
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