ovejas y cerdos - French translation

Una vaca, un caballo, una oveja, un cerdo es más que ganado.

Une vache, un cheval, un mouton, un porc est plus qu’une bête.

Tenía aves sueltas de todos los colores y especies y también cabras, ovejas y cerdos.

Volailles au plumage multicolore courant en liberté, chèvres, moutons et porcs.

Cuando Tercio Valerio escuchó el llanto del recién nacido, al cabo de un rato pudo sostenerlo entre sus brazos, casi enloqueció de alegría y empezó a sacrificar toros, ovejas y cerdos en diversos templos de la ciudad, como si acabase de ocurrir un acontecimiento público.

Lorsqu’il entendit les hurlements de l’enfant mâle né à la douleur de vivre, lorsqu’il sentit dans ses bras le poids du nourrisson, Tertius Valerius entra dans le délire. Dans sa joie, il sacrifia taureaux, moutons et porcs à différents temples comme s’il s’agissait d’un événement d’État.

En los terrenos del castillo, se asaron tres bueyes enteros y docenas de ovejas y cerdos.

On rôtit donc trois bœufs entiers et des douzaines de moutons et de porcs dans l’enceinte du château.

El carro que acababa de salir había dejado allí una montaña de cabezas de caballos, vacas, ovejas y cerdos cubiertas de una sustancia viscosa y brillante que se extendía por el suelo lentamente. El enjambre de moscardones que zumbaba a su alrededor era tan denso que parecía una neblina de destellos azules. Había todo tipo de ojos: ojos grandes y exánimes, ojos como carbúnculos que parecían mirar fijamente al vacío, ojos ensangrentados, ojos hundidos, miradas muertas, pupilas ciegas llenas de larvas. Pero no todo eran ojos. También había hocicos, jetas y morros de los que salían unas babas marrones;

Des têtes de chevaux, de vaches, de moutons et de porcs y luisaient dans une masse suintante qui venait d’être déversée de la charrette. Une nuée de grosses mouches bourdonnait tout autour, si près et furieusement qu’on eût dit qu’un nuage bleu scintillant enveloppait les têtes en vrombissant : des têtes aux grands yeux exténués, des yeux sanglants, rouge grenat, fixant le vide, des yeux enfoncés, des regards morts, des pupilles aveugles où grouillaient des asticots. Mais il n’y avait pas que ces yeux, il y avait aussi ces masses que formaient les gueules, les museaux, les groins d’où gouttait de la glaire marron ;

Come ovejas y cerdos, extrae la leche de nueve vacas a la vez… El número nueve aparece una y otra vez en el relato, aunque el motivo no está claro, y los perros, gatos y seres humanos imprudentes no son más que ligeros tentempiés para la lombriz. A su alrededor empieza a crecer un círculo de devastación, pálido y sucio, en el que nadie penetra y del que todo el mundo ha de alejarse, un poco cada vez, a medida que se ensancha. El animal se aventura cada día un poco más lejos, hasta que finalmente el círculo de terror avanza hasta que desde él se tiene una vista directa de las almenas del castillo de Lambton; es éste un refugio definitivo, sin duda inviolable, aunque los moradores del castillo no se atreven a organizar el éxodo, pues, cuando es necesario, la lombriz puede moverse a gran velocidad, incluso con más rapidez que un caballo al galope. Los del castillo han contemplado aterrados muchas persecuciones mortales por la llanura costera, allá abajo, porque, una vez sobre aviso, la lombriz, en terreno abierto, puede interceptar fácilmente a sus víctimas, que se hallan lejos de cualquier refugio o no tienen posibilidad de huida.

Il se nourrit de moutons et de porcs, tire le lait de neuf vaches en même temps, – le chiffre neuf revient souvent dans le Récit, quoique pour une raison obscure, – et les chiens, les chats et les êtres humains imprudents sont pour lui de simples en-cas. Autour de lui se forme un cercle de Dévastation, pâle et souillé, où nul ne s’aventure, et dont le Monde doit s’accommoder, peu à peu, alors qu’il va s’élargissant, – le Ver s’aventurant chaque jour un peu plus loin de sa base, jusqu’à ce qu’enfin le cercle de terreur soit agrandi au point d’être visible depuis les remparts du Château de Lambton lui-même, l’ultime sanctuaire, assurément inviolable, – bien que les habitants du Château ne se risquent pas à tenter d’organiser un exode, car le Ver quand il le doit peut se déplacer à une grande vitesse, plus vitement que chevaux au galop, – ils ont assisté, terrorisés, à de nombreuses curées dans la laisse en contrebas, au cours desquelles, alerté, le Ver a aisément rattrapé ses victimes en terrain découvert, loin de tout refuge, sans la moindre possibilité de fuite.